Voici la définition d’une croyance selon wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Croyance :
La croyance est le processus mental expérimenté par une personne qui adhère à une thèse ou une hypothèse, de façon qu’elle les considère comme vérité, indépendamment des faits, ou de l’absence de faits, confirmant ou infirmant cette thèse ou cette hypothèse.
En ce sens elle s’oppose à la notion d’esprit critique, et trouve son antithèse dans l’instrumentalisme qui considère que les modèles scientifiques ne sont que des instruments nous permettant de concevoir commodément les phénomènes. Un sceptique considère une croyance qu’il ne partage pas comme fausse croyance ; un sceptique radical considère toute croyance, ou plutôt toute vérité, comme fausse et ce jusqu’à preuve du contraire.
Par métonymie, le terme désigne aussi ce que l’on croit, c’est-à-dire l’objet d’une croyance. Le concept philosophique de croyance fait partie de la théorie de la connaissance. Les croyances, qu’elles soient religieuses, scientifiques, superstitieuses ou autres, sont aussi un objet d’étude de l’anthropologie culturelle.
Je vais commencer par te raconter une histoire. J’aime raconter des histoires parce que l’inconscient comprend par image. Tu vas retenir beaucoup plus les faits vécus que juste de la théorie. La voici : Un homme croyait que dans la vie, il fallait travailler fort pour faire de l’argent. Depuis qu’il est tout petit son père qui avait une entreprise avait bâti sa fortune en travaillant fort. Étant petit, il entendait son père dire qu’il fallait travailler fort dans la vie pour faire de l’argent. Pour renforcir le tout, le jeune homme le voyait de ses propres yeux et avait des sentiments reliés à tout ça. Le petit garçon se retrouvait avec un père absent, pas patient, fatigué…
Suite à cette croyance qu’il faut travailler fort pour avoir de l’argent ceci peut engendrer différents comportements :
1. Je veux être comme mon père et moi aussi je vais travailler fort pour faire fortune.
2. Je ne veux pas être comme mon père donc je vais me trouver un travail pour passer du temps avec ma famille et avoir moins d’argent. (Ici, on peut voir que l’homme garde la croyance que si on veut de l’argent, on doit travailler fort. Je travaille moins pour passer du temps en famille donc je vais vivre simplement.)
3. L’indifférence, mon père a fait ça pour réussir, moi je vais le faire à ma manière.
Les croyances ne sont pas distinctes les uns des autres mais plutôt entremêlées.
Il y a des croyances dont il est facile de se défaire. Nous n’avons souvent aucune émotion reliée à ces croyances, elles peuvent être nouvelle ou peuvent venir se rajouter à ce que je sais déjà. Exemple : depuis que je suis petite, on me dit que pour être en santé, on doit suivre le guide alimentaire canadien. Je crois que pour être en santé je dois manger : produits laitiers, viandes et substitues, fruits et légumes et les céréales. Ma croyance fût la même jusqu’au moment où j’ai rencontré quelqu’un de végétarien qui débordais de santé. Un crudivore, un frugivore… Tous en santé! Ma croyance vient de changer, on peut manger sans suivre le guide alimentaire et être en pleine forme.
Une question à se poser : est-ce comme cela pour tout le monde? Je te donne un raccourci, la réponse est NON! Alors, crois en ce qui te fait du bien!!!
D’où viennent les croyances?
Les stimulus de notre environnement : Un enfant parle fort, on le met en punition, il croit que parler fort n’est pas bien.
Les perceptions et comportements : Dans ma perception l’hiver est plate. Jusqu’à temps que je rencontre quelqu’un qui aime l’hiver et me fait goûter au plaisir de l’hiver. Ma perception vient de changer ainsi que ma croyance : l’hiver est plat. Pour le comportement, je crois quand étant gentil avec les autres, ils vont m’aimer. Est-ce vrai pour tout le monde?
Les processus et stratégies interne : Les croyances à savoir comment faire les choses. Je sais comment avoir une santé optimale. Est-ce la même méthode pour tout le monde?
Les valeurs et mes états internes : J’ai beaucoup d’énergie, je peux en faire plus que les autres. Est-ce juste ceux qui ont beaucoup d’énergie qui en font plus?
Identité : Je sais comment je suis. Selon quelles perceptions la mienne ou la tienne?
Spirituel : Croyances de ce qui est plus grand que moi, le but de la vie. Bon, pas de débat là-dessus, il y a tellement de croyances dans différentes religions. À toi de choisir et amuse-toi!
Comment on défait une croyance nuisible?
Je vais vous faire une vidéo sur les croyances. Une croyance, dans le cerveau est comme un chemin. Quand j’étais plus jeune, on passait à pied ou à vélo au travers d’un parc, il n’y avait plus de pelouse qui poussait à cet endroit. Si je change de chemin la pelouse va repousser, et le nouveau chemin va devenir en terre. La croyance dans le cerveau, c’est la même chose; un circuit se fait et quand on change la croyance, ce circuit arrêt de fonctionner, et un autre se met en fonction.
1. Prendre conscience que j’ai une croyance nuisible, limitante.
2. Est-ce une vérité absolue? NON
3. Comment je peux changer ma perception et voir les choses autrement?
4. En trouvant des gens qui sont comme je voudrais que ça soit.
5. Trouver mon propre sens et changer la croyance nuisible par une croyance utile qui me parle, qui vient me chercher en dedans. Je vais sentir que oui tout ça à du sens et je sens qu’une nouvelle vérité s’installe en moi. Je me mets une image dans ma tête de cette croyance aidante et je ressens que c’est vrai pour moi, ça du sens.
Pour résumé, on va travailler seulement sur les croyances nuisibles pour nous qui sont associées à des sentiments négatifs. Comment on le fait? On se trouve un point de repère, quelqu’un qui a ce que l’on veut pour ouvrir une porte à la nouvelle croyance, je lui mets une image et un sentiment positif, c’est important de sentir intérieurement que tout ça fait du sens et que ça fait oui, c’est bon! Comme les croyances sont entremêlées, il se peut que j’aie des sous-croyances limitantes.
Je veux retourner à l’université mais je crois qu’à 45 ans, ce n’ai plus possible. Je trouve quelqu’un qui a réussi, cependant je peux avoir des croyances limitantes sur mon identité, vu que je ne suis pas bonne à l’école et je vais échouer.
Quand on commence à travailler sur nos croyances nuisibles, c’est très motivant car notre univers change et on le façonne à notre image pour vivre le parfait bonheur.
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